Connues, avant les Arabes, sous le nom de “terre du sirgo”, en raison de la grande quantité de soie que l´on y produisait, leur terrain, bien que fertile, est extrêmement accidenté et elles sont situées sur le versant méridional de Sierra Nevada.
Théatre du soulèvement des morisques commente pas à pas dans le livre de Pedro A. de Alarcón, “La Alpujarra”; cette région est parsemée des souvenirs historiques recueillis dans les ouvres de Luis de Mármol et Diego Hurtado de Mendoza.
C´est dans cette partie de l´Andalousie, que l´on conserve encore latradition de construire les maisons selon un procédé mauresque. Maisons blanches, en pierre et en glaise, couvertes de bois et d´argile, pour former des toits plats avec des solivages en châtaignier ou en pleuplier, surlesquels on pose des dalles d´ardoise ou des panneaux en oisier, qui sont recouverts d´épaisses couches d´argile. Terrasses, patios et séchoirs à la fois. Nous sommes devant un des examplaires les plus notoires de la maison tradicionelle d´une architectura populaire.
Capileira. Pampaneira, Bubion, Trevélez, Ugijar, Murtas, Yegen... sont les villages plus interesants; Dans le village de Yegen, vécut Gerald Brenen et dans son livre “Au sud de Grenede”, il expose le genèse de ce genre d´architecture, les façons de concevoir les espaces, cette harmonie du paysage que l´on ne trouve nulle part ailleurs; et il décrit le Precipice du Poqueira, qu´il aperçoi d´un petit balcon quelconque.
Les caractéristiques de l´architecture des Alpujarras sont représentées. comment en aucun outre endroit, par la Maison de la Culture “Pedro Antonio de Alarcon”, de Capileira.